Toni Erdmann, Allemagne, Autriche, 2016, 162 min. R. et Sc. : Maren Ade.
Révélation
du dernier Festival de Cannes (coqueluche du public et de la critique).
Même si ce film n'y a pas remporté de palmes, il n'en demeure pas moins
un grand film, avec un scénario très construit et structuré et une
interprétation inoubliable des comédiens qui interprètent le père (Peter
Simonischek) et sa fille (Sandra Hüller).
Troisième
long métrage de cette réalisatrice, cette comédie facétieuse met en
scène un duo atypique, un père qui débarque à l'improviste chez sa
fille, à Bucarest, dans ses relations et son travail, elle qui est une
carriériste que rien n'arrête. Bonjour les dégâts !
Ce
film, qui n'a pas la prétention de révolutionner l'art
cinématographique, atteint son but par la qualité et la profondeur de
ses dialogues.
Mots clés : "Toni Erdmann", Maren Ade, "Festival du Nouveau Cinéma"